- Dakota WilliamsMEMBRE ◊ PACTE
- Personnage◊ :
Pseudo / Pronoms : Titus (il)Messages : 313Âge : 30 ansNombre de dés : 1 (2 en arts martiaux)Résidence : Phoenix, ArizonaProfession : Fondatrice et gérante de Boss JewelsFaceclaim : Mercedes Varnado (fka Sasha Banks)Pouvoirs/capacités : Importantes capacités physiques et compétences martialesCrédits : Avatar Lady Eilie, Aes perso, picrew ValhDisponibilité RP : C'est compliquéMulticomptes : Viktoria / Azur / Enfys / Gabrielle / DelilahPoints : 736Joueur•se
L'ambiance est DÉ-LÉ-TÈRE - UnLilykely Butterflies III
Mar 5 Juil 2022 - 0:10
!ambiance
Je pense pas avoir été vraiment discrète pour le coup. Que ce soit dans mes messages à Lily ou dans mes commentaires sur les quelques photos qu'elle poste sur les réseaux sociaux, l'intention a du être bien claire : "Coucou, je flirt avec toi." Pour elle comme pour moi, cet été fut tumultueux. Aussi, c'est seulement maintenant, pendant cette période de transition qu'est le mois d'octobre, que nous réussissons à nous revoir. Il est vrai que l'été est toujours la saison des occupations, des aventures et des obligations, trop rarement de la disponibilité et de la joie. Encore plus quand on rajoute à l'été des émeutes et un changement de gouvernement poussant les États-Unis plus loin dans la techno-dictature. Il me manque plus qu'un bras en métal et tout ceci sera très cyberpunk. Mais avec des sorcières et des dragons. Ce qui est quand même beaucoup mieux.
Mais je m'égare. Une date étant fixée sur nos retrouvailles, il fallait trouver un lieu, quelque chose à faire. Je rappelle à nouveau mon objectif assumé : le flirt. Que trouver de plus passionné qu'une conférence dans une librairie de quartier ? Aucun film ne me tente en ce moment, la région de Phoenix est pauvre en balades romantiques et les terrasses ne nous ont pas porté chance la dernière fois. Alors j'ai réservé une table dans un des restaurants les plus chics de Phoenix : un lieu situé au dernier étage d'un gratte-ciel du centre ville, où célébrités et chefs d'entreprise se tutoient.
Pour tenter de m'adapter au lieu, je me couvre de mes plus beaux atours. Une veste de costume rouge, couvertes d'arabesques en doré sur une simple chemise blanche en lin ainsi qu'une jupe noire simple et efficace. Mes cheveux sont regroupés dans un chignon strict, afin de dégager mes boucles d'oreille et mon collier, tous deux en argent serties de pierres semi-précieuses colorées. J'espère que les lueurs mauves et orangées des améthystes et des grenats continueront à rendre transparentes mes intentions. J'ai essayé de mettre du Rihanna dans mon rouge à lèvres et du Beyoncé dans mon mascara. Mon armure est prête, brillante et luxueuse, toute prête pour cacher mes peurs.
Car alors que je l'attends, à la table du restaurant, j'ai du mal à cacher ma nervosité. J’agrippe mes genoux en tentant de me rappeler que je la connais bien mieux aujourd'hui que la dernière fois. Je me concentre sur les mêmes exercices de respiration que je faisais avant chaque match de MMA. Je me ressasse les mêmes mantras que j’utilise avant chaque réunion marketing essentielle. Je tente tout mais la chaise vide reste habitée par les visages de Nova-Blue et de Gabriel, par des rappels cruels de mon incapacité à avoir des relations romantiques saines. Rageuse, j’avale cul sec un verre de vin que le serveur a eu la bonté de m’amener. J’oublie tout à fait que je viens d’avaler un verre à 40$. J’ignore complètement comment Lily doit se sentir d’être traîné dans ce repère des vainqueurs de la lutte des classes, je ne me pose même plus la question.
Et dès qu'une tâche de rousseur apparaît, je perds toute consistance, je me lève et dit très fort "Lily ?"
Mais non.
C'est.
Ambrose.
Atkins.
Encore.
Ce.
Rouquin.
La dernière fois que je l'ai vu, c'était dans la chaleur d'une église de Phoenix. Un contexte particulier mais bien plus pacifique que nos dernières interactions.
"Tu veux t'asseoir ?"
Aucune idée de pourquoi je lui propose ça, honnêtement. Quelle tête fera Lily en me voyant avec un mec comme lui ? Pourquoi je souffre la présence d'un raciste ridicule ? Peut-être parce que sa tête me fera toujours moins souffrir que les absences pleines de souvenirs douloureux.
Mais je m'égare. Une date étant fixée sur nos retrouvailles, il fallait trouver un lieu, quelque chose à faire. Je rappelle à nouveau mon objectif assumé : le flirt. Que trouver de plus passionné qu'une conférence dans une librairie de quartier ? Aucun film ne me tente en ce moment, la région de Phoenix est pauvre en balades romantiques et les terrasses ne nous ont pas porté chance la dernière fois. Alors j'ai réservé une table dans un des restaurants les plus chics de Phoenix : un lieu situé au dernier étage d'un gratte-ciel du centre ville, où célébrités et chefs d'entreprise se tutoient.
Pour tenter de m'adapter au lieu, je me couvre de mes plus beaux atours. Une veste de costume rouge, couvertes d'arabesques en doré sur une simple chemise blanche en lin ainsi qu'une jupe noire simple et efficace. Mes cheveux sont regroupés dans un chignon strict, afin de dégager mes boucles d'oreille et mon collier, tous deux en argent serties de pierres semi-précieuses colorées. J'espère que les lueurs mauves et orangées des améthystes et des grenats continueront à rendre transparentes mes intentions. J'ai essayé de mettre du Rihanna dans mon rouge à lèvres et du Beyoncé dans mon mascara. Mon armure est prête, brillante et luxueuse, toute prête pour cacher mes peurs.
Car alors que je l'attends, à la table du restaurant, j'ai du mal à cacher ma nervosité. J’agrippe mes genoux en tentant de me rappeler que je la connais bien mieux aujourd'hui que la dernière fois. Je me concentre sur les mêmes exercices de respiration que je faisais avant chaque match de MMA. Je me ressasse les mêmes mantras que j’utilise avant chaque réunion marketing essentielle. Je tente tout mais la chaise vide reste habitée par les visages de Nova-Blue et de Gabriel, par des rappels cruels de mon incapacité à avoir des relations romantiques saines. Rageuse, j’avale cul sec un verre de vin que le serveur a eu la bonté de m’amener. J’oublie tout à fait que je viens d’avaler un verre à 40$. J’ignore complètement comment Lily doit se sentir d’être traîné dans ce repère des vainqueurs de la lutte des classes, je ne me pose même plus la question.
Et dès qu'une tâche de rousseur apparaît, je perds toute consistance, je me lève et dit très fort "Lily ?"
Mais non.
C'est.
Ambrose.
Atkins.
Encore.
Ce.
Rouquin.
La dernière fois que je l'ai vu, c'était dans la chaleur d'une église de Phoenix. Un contexte particulier mais bien plus pacifique que nos dernières interactions.
"Tu veux t'asseoir ?"
Aucune idée de pourquoi je lui propose ça, honnêtement. Quelle tête fera Lily en me voyant avec un mec comme lui ? Pourquoi je souffre la présence d'un raciste ridicule ? Peut-être parce que sa tête me fera toujours moins souffrir que les absences pleines de souvenirs douloureux.
- Ambrose AtkinsMEMBRE ◊ CHASSEURS
- Personnage◊ :
CALL ME FIGHTER I'LL MOP THE FLOOR WITH YOU CALL ME LOVER I'LL TAKE YOU FOR A DRINK OR TWO YOU'LL GET OLDER MAYBE THEN YOU'LL FEEL SOME CONTROL
NOVROSE ▲ voyous
I'LL BE A REGULAR GUY FOR YOU, I NEVER SAID I'D DO THAT WHY YOU LOOKING SO BEAUTIFUL TO ME NOW WHEN YOU'RE SO SAD ?
Pseudo / Pronoms : Smanffson ▲ elle/ielMessages : 527Âge : 29 ans ▲ et pas toutes ses dentsNombre de dés : 1 dé classique ▲ 1 dé en armes à feu ▲ contrôle hormonal et cérébralRésidence : Phoenix ▲ avec Nova-BlueProfession : Scientifique ▲ dans le laboratoire d'ElishevaFaceclaim : Caleb Landry JonesPouvoirs/capacités : Botaniste ▲ Armes à feu (1 dé) ▲ contrôle hormonal et cérébralCrédits : vocivus (av) valhdia (aes) awona (forte inspi signa) a-child-ish (icon signa)Disponibilité RP : 2/2 (nova-blue, noël.le)Points : 1519Joueur•se
Re: L'ambiance est DÉ-LÉ-TÈRE - UnLilykely Butterflies III
Lun 24 Oct 2022 - 19:14
!AMBIANCE
Niché en haut d’un gigantesque building, le restaurant était de ceux qui accueillent les personnes bien habillés, de chics individus qui ne plient pas leurs billets et qui les laissent soigneusement sur la place. Ils sont de ceux qui sortent la carte sans sourciller, qui se rendent dans un endroit sans se renseigner, avec des broches brillantes et des stylos griffés sur lesquels se lisaient l’opulence.
Mon père m’y emmenait de temps en temps, quand j’étais petit. Il était agréable d’avoir un enfant à présenter. Bien coiffé, les cheveux en arrière et un petit nœud papillon d’enfant, j’étais certainement le gosse le plus aimable du quartier quand mon père m’y emmenait. Je ne reconnaissais jamais aucune de ses amies, elles étaient toutes très gentilles jusqu’au divorce. Elles m’offraient de jolis cadeaux que papa refusait de me donner. « Ce serait pour plus tard », « j’avais pas encore l’âge » qu’il disait.
De toute façon, elles les reprenaient quand mon père avait fini d’être leur ami. J’avais appris à les recevoir avec un certain dédain à la fin, les laissant sur le côté de la table. La seule chose qui comptait à ce moment, c’était pas les cadeaux impersonnels et les Legos que j’avais déjà, en tant qu’enfant aux dents d’argent. Papa m’emmenait au restaurant, et même si les discussions d’adultes étaient trop ennuyeuses, j’étais le seul enfant de tout le restaurant, et je pouvais dire à la cour de récréation que j’avais été en haut du building, et qu’on voyait mieux Phoenix d’en haut. La tête dans les étoiles et au plus près du Ciel, j’espérais toucher quelques volutes de Dieu, en espérant qu’il se cache derrière les nuages pour venir me faire un petit coucou, un petit sourire, n’importe quoi.
Papa avait un stylo Montblanc. J’ai appris récemment que c’était une chaîne de montagne, et qu’il y avait des falaises à escalader pour atteindre le haut du building.
« Lily ? »
Je tourne la tête, agacé. L’endroit était calme et apaisant. Qui osait crier dans un tel lieu ? Mes yeux s’écarquillent et mon sourire s’étire.
« Dakota ? »
Bien sûr que c’était elle. J’ai envie de rire. C’était bien la caractéristique des nouveaux de notre monde d’essayer de se plier à nos conventions. Elle est belle, dans sa robe trop apprêtée. J’ai une simple chemise blanche. Sûrement qu’elle verrait une simple chemise bien repassée, mais ignorerait le travail du lin, du coton et ce qui en faisait une marque de notre appartenance à ce monde. Il y avait la gloire de l’étiquette, l’élégance de la sobriété. Mes boutons de manchettes brillent et c’est ici que la vérité éclate. Je m’approche quand elle me propose de m’asseoir avec elle.
Je présume que depuis notre rencontre dans le temple, les chaises ont été rangées dans un placard poussiéreux.
« Elle doit en brasser de l’argent, ton entreprise, pour que tu puisses venir ici. »
Sourire de requin, les lustres m’éblouissent et je dois admettre que sa veste aussi. Si les dorures n’ont jamais été de mon goût, Dakota avait tout eu à prouver dans ce monde. J’ignore juste à quel point elle a conscience qu’elle peut arrêter.
« C’est sympa de me proposer de me poser un peu en tout cas. Je serai bref, j’ai un rendez-vous d’affaires plus loin, mais je vais pas te laisser seule là. T'en tires une gueule. »
Il était question d’un amoureux transis qui avait perdu son amour, Erin, qui avait fui à Washington. Son coeur trahi, Sienna et moi nous étions portés volontaire pour bien entendu aller la récupérer pour la ramener auprès de son destin. J’ignore comment fonctionnait l’économie des Chasseurs, mais revenir ici me rappelait les plats bien cuits et des voix à oublier.
« Excusez moi, monsieur. Est-ce qu’on pourrait avoir une bouteille de … Awmand de Bouignac s’il vous plaît ? »
Le serveur hoche la tête et ne prête pas attention à ma formidable démonstration de prononciation française. Tandis que d’imposantes flûtes sont déposées sur notre table, j’ai du mal à contenir mon excitation. Dakota, de son côté, tremble, et j’ignore si c’est parce qu’elle est contente de me voir. J’ai envie de tout lui raconter. Elle m’avait trouvé dans un état désastreux, les yeux trop gonflés pour y voir quoique ce soit et la tête trop pleine de fantômes. J’étais désormais un homme nouveau, empli d’une grande joie dans un contexte de terreur. Si les Etats-Unis étaient dans un état politique désastreux, j’étais l’américain le plus heureux de la Terre.
« Quoi de neuf, toi ? A part que tu dînes seule dans le meilleur restaurant de Phoenix, bien entendu. Heureusement que j’étais là, finalement. Les amis, c’est fait pour ça ! » je dis avec un clin d’oeil entendu.
SIAL ; icon a-devious-route
_________________
- Dakota WilliamsMEMBRE ◊ PACTE
- Personnage◊ :
Pseudo / Pronoms : Titus (il)Messages : 313Âge : 30 ansNombre de dés : 1 (2 en arts martiaux)Résidence : Phoenix, ArizonaProfession : Fondatrice et gérante de Boss JewelsFaceclaim : Mercedes Varnado (fka Sasha Banks)Pouvoirs/capacités : Importantes capacités physiques et compétences martialesCrédits : Avatar Lady Eilie, Aes perso, picrew ValhDisponibilité RP : C'est compliquéMulticomptes : Viktoria / Azur / Enfys / Gabrielle / DelilahPoints : 736Joueur•se
Re: L'ambiance est DÉ-LÉ-TÈRE - UnLilykely Butterflies III
Ven 11 Nov 2022 - 15:45
Je devrai même plus être surprise. Après la maison de Christie, une ruelle de Phoenix, un temple protestant et un club espagnol, le cinquième lieu de rencontres inattendues avec Ambrose Atkins est un restaurant haut-de-gamme. Est-ce une rançon du succès de devoir rencontrer des gens comme lui et, pire, lui ? Je vois beaucoup de chaises, j'entends trop de ses mots, je ne sens aucune patience en moi et je ne goûte pas encore à assez de bons plats. Alors ça peut seulement mal finir.
"Ouais. On peut dire que les affaires marchent en ce moment."
On pourrait même dire que j'ai tellement d'argent que je suis riche, des trucs pas très propre à propos du succès et que je possède des thunes. En tout cas, oui, je suis plus une étudiante boursière dans un community College. Je suis plus proche de la classe d'Ambrose que je ne l'ai jamais été. Et, pour une fois, ça me déplaît presque.
Je reste muette un instant alors qu'il me parle beaucoup trop gaiement et vulgairement. C'est quoi son délire à ce type ? Il se comporte comme une fusion foireuse de Ron Weasley et Elon Musk qui rachèterai des réseaux sociaux uniquement pour pouvoir se moquer de son ex. Hermione ou Grimes ? Les deux sans doute. Aristocratie white trash, mélange chelou entre l'odeur de la lavande et de la clope froide, entre les Tesla et les jantes thunées avec des néons, entre une chemise d'héritier et un vocabulaire de troll de Fox News. J'ai envie de me casser au plus vite.
"J'attends une amie. Elle est..."
J'ai pas envie de dire rousse parce que la ressemblance entre les deux m'embarasse plus que je ne l'avoue. J'ai l'impression d'être dans un tableau de Jean-Jacques Henner avec toutes ces taches de rousseur de partout. Au moins, Ambrose est habillé.
"En retard. Et pas grand chose qui va t'intéresser je pense. Mon taf est pas très... bio."
Quelque part, Marisol rigole.
"Enfin, tu vois ce que je veux dire. Sinon, j'ai recroisé Samantha, tu te souviens d'elle ? Apparemment elle s'est mariée. Ah et tu te souviens Christie la meuf à qui t'avais roulé une pelle au jeu de la bouteille ? Bah elle travaillait pour moi. Et je l'ai virée. Voilà."
C'est pas que je trouve ma vie inintéressante, loin de là. J'en suis incroyablement fière. Mais Ambrose est une relique d'un passé en telle inadéquation avec ce présent que je ne sais pas quoi lui dire. Je me concentre donc sur lui.
"Et toi alors ? On m'a dit que tu vivais à Seattle, qu'est-ce qui te ramène dans le désert ?"
Et, surtout, qu'est-ce qui t'en fera partir ?
"Ouais. On peut dire que les affaires marchent en ce moment."
On pourrait même dire que j'ai tellement d'argent que je suis riche, des trucs pas très propre à propos du succès et que je possède des thunes. En tout cas, oui, je suis plus une étudiante boursière dans un community College. Je suis plus proche de la classe d'Ambrose que je ne l'ai jamais été. Et, pour une fois, ça me déplaît presque.
Je reste muette un instant alors qu'il me parle beaucoup trop gaiement et vulgairement. C'est quoi son délire à ce type ? Il se comporte comme une fusion foireuse de Ron Weasley et Elon Musk qui rachèterai des réseaux sociaux uniquement pour pouvoir se moquer de son ex. Hermione ou Grimes ? Les deux sans doute. Aristocratie white trash, mélange chelou entre l'odeur de la lavande et de la clope froide, entre les Tesla et les jantes thunées avec des néons, entre une chemise d'héritier et un vocabulaire de troll de Fox News. J'ai envie de me casser au plus vite.
"J'attends une amie. Elle est..."
J'ai pas envie de dire rousse parce que la ressemblance entre les deux m'embarasse plus que je ne l'avoue. J'ai l'impression d'être dans un tableau de Jean-Jacques Henner avec toutes ces taches de rousseur de partout. Au moins, Ambrose est habillé.
"En retard. Et pas grand chose qui va t'intéresser je pense. Mon taf est pas très... bio."
Quelque part, Marisol rigole.
"Enfin, tu vois ce que je veux dire. Sinon, j'ai recroisé Samantha, tu te souviens d'elle ? Apparemment elle s'est mariée. Ah et tu te souviens Christie la meuf à qui t'avais roulé une pelle au jeu de la bouteille ? Bah elle travaillait pour moi. Et je l'ai virée. Voilà."
C'est pas que je trouve ma vie inintéressante, loin de là. J'en suis incroyablement fière. Mais Ambrose est une relique d'un passé en telle inadéquation avec ce présent que je ne sais pas quoi lui dire. Je me concentre donc sur lui.
"Et toi alors ? On m'a dit que tu vivais à Seattle, qu'est-ce qui te ramène dans le désert ?"
Et, surtout, qu'est-ce qui t'en fera partir ?
_________________
┗ to be human ┛
ஃ You can be rough, you can be tough, I'll only be sorry cause you deserve a better story. We love the heroes when they are ordinary ஃ