- Ambrose AtkinsMEMBRE ◊ CHASSEURS
- Personnage◊ :
CALL ME FIGHTER I'LL MOP THE FLOOR WITH YOU CALL ME LOVER I'LL TAKE YOU FOR A DRINK OR TWO YOU'LL GET OLDER MAYBE THEN YOU'LL FEEL SOME CONTROL
NOVROSE ▲ voyous
I'LL BE A REGULAR GUY FOR YOU, I NEVER SAID I'D DO THAT WHY YOU LOOKING SO BEAUTIFUL TO ME NOW WHEN YOU'RE SO SAD ?
Pseudo / Pronoms : Smanffson ▲ elle/ielMessages : 527Âge : 29 ans ▲ et pas toutes ses dentsNombre de dés : 1 dé classique ▲ 1 dé en armes à feu ▲ contrôle hormonal et cérébralRésidence : Phoenix ▲ avec Nova-BlueProfession : Scientifique ▲ dans le laboratoire d'ElishevaFaceclaim : Caleb Landry JonesPouvoirs/capacités : Botaniste ▲ Armes à feu (1 dé) ▲ contrôle hormonal et cérébralCrédits : vocivus (av) valhdia (aes) awona (forte inspi signa) a-child-ish (icon signa)Disponibilité RP : 2/2 (nova-blue, noël.le)Points : 1519Joueur•se
mortal man (chaology II)
Mar 29 Nov 2022 - 17:40
⋆ Let these words be your earth and moon You consume every message As I lead this army make room for mistakes and depression (mortal man // kendrick lamar)
cw : propos pas sympas sur les catholiques
Quand la rumeur était passée de lèvres en lèvres comme une traînée de sel sur un vieux plan de travail, mes sourcils s’étaient arqués. Plus elle se détaillait, plus mes traits se contorsionnaient dans des incompréhensions, des hésitations, des doutes. C’était impossible que quelqu’un fasse ça. La paroisse était indignée, inquiète. Chez nous, se faire de l’argent sur les idoles, c’était putain d’interdit. Puis les chuchotements s’amplifiaient le dimanche, puis le mercredi, puis le vendredi. Bientôt, je trouvais que les sermons étaient orientés sur cette sale histoire, un truc dégueulasse. Quelques soupirs plus tard, la rumeur s’amplifiait de nouveau entre deux murs, dans les couloirs. Sur le pas du temple, impossible de s’adresser à un fidèle sans que revienne cette sordide histoire qu’il me balançait à la gueule sans prévenir.
Alors, rapidement, quand la rumeur s’amplifiait entre nos bancs, elle dépassait le trottoir pour venir alerter les églises catholiques du coin. Même s’ils étaient plus tolérants que nous sur ces conneries de ventes de bougies pour Marie, ils furent tout aussi outrés que nous. Pour la première fois, les paroisses de Phoenix étaient claires : il fallait que ce problème s’arrête, et
Pourtant, le problème se déplaçait. Parfois, des dires évoquait un gamin dans l’ancien Mall, puis des rires dans la décharge. Un jour, une femme est arrivée en pleurant au temple en disant que c’était un monsieur très mal élevé qui lui avait volé son sac, et que c’était forcément la même personne. Rapidement, tous les faits divers du quartier s’amplifiaient et se cristallisaient autour de cette histoire.
Mes nerfs se foutaient en boule à chaque fois qu’un père de famille ouvrait la bouche pour parler de ce manque de sapin de Noël à l’école de sa fille, disant que c’était peut-être le fait du vendeur d’eau bénite.
Tout le monde en parlait, et pourtant ; c’était le fait de ma paroisse, à la base. J’étais peu dans la communauté religieuse toute entière de Phoenix, mais j’étais loyal, présent, et infiniment actif auprès de mon temple de banlieue pavillonnaire. J’espérais sagement infiltrer la communauté rangée avec des familles nombreuses et des pelouses toutes vertes pour pouvoir capter entre deux trois discussions des ventes particulières de pavillon près de la Paradise Valley.
On y poserait nos cartons et on l’aurait eu, notre petit aquarium bien rangé.
Il fallait enquêter pour taire ces rumeurs. Si le problème disparaissait, le monde serait apaisé. Syndrome du sauveur et du super-héros aux principes douteux au coeur, il faisait 8 degrés dans les rues d’Ahwatukee. Quelques personnes se ruaient aux multiples bazars du vieux Mall, et je regardais tous les exposants avec un mépris non dissimulé. Les cartes bleues étaient pas acceptées, et je présumais que leur commerce était pas vraiment déclaré. Je notais dans un coin de ma tête d’y emmener Nova-Blue un jour ; elle aurait beaucoup d’audits à faire ici.
Je vois ce gamin.
Je reprends. Ce putain de gamin.
Je le vois et il me provoque des flashs d’explosion au creux de la rétine. J’avais fais ça tout seul, mais j’étais persuadé qu’une force extérieure m’avait poussé ce jour-là à éclater les voitures de mon travail. Au grand jamais je n’aurai fais ça seul. J’avais cultivé sagement cette pensée pendant des mois pour justifier mes actions honteuses et refuser d’admettre que finalement,
« Tu t’es trouvé un job, à ce que je vois. »
Je me plante face à son stand. Il vendait de la fausse eau bénite. Je le sais parce qu’elle était dérivée en parfum, en boisson énergétique, en crème pour la peau, et en plein d’autres choses qui me nouent la gorge.
Je repense à ses explosions, et aux policiers dans l’air. Je repense aux serpents et aux nymphes qui tuent les présidentes.
Quelle connerie.
Je prends une des bouteilles de pseudo eau bénite d’un air intéressé. Je lis un peu l’étiquette dessus. Elle promet Monts et Merveilles, entre un rétablissement moral efficace, un physique instantanément incroyable, une réussite financière immédiate, le retour de ses ex, puis plus loin la trouvaille de l’amour ultime.
Quelle putain de connerie.
Je lève les yeux vers le gamin. Prenant un air las, je prends le haut de la bouteille entre deux doigts et fait mine de lui montrer négligemment. Tout en le fixant, je lâche la fiole qui s’explose au sol, se répandant sur mes chaussures que j’imagine brûler sous tant d’hérésie.
« Oh ! Zut alors. Je l’ai faite tomber, quel dommage. »
Je suis un putain de ressort, et j’attends de lui sauter au visage à tout moment.
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- Rogus NoneMEMBRE ◊ FIDELES
- Personnage◊ :Pseudo / Pronoms : Even, ilMessages : 117Âge : 17 ansNombre de dés : 1Résidence : Décharge de PhoenixProfession : Sans Emploi FixeFaceclaim : Thomas Brodie-StagnerPouvoirs/capacités : Alchimie, potion et psychokinésieCrédits : StrangeHellDisponibilité RP : Toujours ouvert à la discussionMulticomptes : Caïn Stonegold & Noël.le DumasPoints : 211Joueur•se
Re: mortal man (chaology II)
Mer 14 Déc 2022 - 12:50
Chaology II
Dans la vie, tout les moyens étaient bon pour survivre. Même les plus insultants. C'est vrai qu'avec du recul, tu devrais avoir honte Rogus. De te faire de l'argent comme ça. Mais c'est moins dangereux ainsi, t'en convient. Enfin pour l'instant. Tu te doutais que ça te péterait à la gueule forcément, ça t'explose toujours à la face, comme si tu n'avais jamais retenu la leçon avec le nombre d'essai effectué. Mais revenons un peu dans le temps pour connaitre l'origine de ton idée, que vous ne connaissez toujours pas d'ailleurs. Mais vous finirez par comprendre en lisant, enfin peut-être ? En tout cas c'est pas vraiment le problème primordial de notre Rogus. Tu faisais cela tout les jours, trainer dans ta décharge. Tu fouillais, tu récupérés, t'excaver même parfois! Souvent tu te retrouvais avec un véritable mont de déchets auquel tu redonnais une nouvelle utilité, parfois tu tombais même sur des trésors! Mais le plus souvent, c'était des trucs immondes et dégueu. C'était un de ces jours, où tu patouillais dans la crasse et le jus d'poubelle, que tu te retrouvas avec le papier qui déclencha tout ça, coller à ta semelle. C'était une vieille publicité d'un groupe qui avait sans doute mis la clé sous la porte aujourd'hui et qui s'appelait Phytosymbiose Laboratories. Sur le devant du papier on voyait une image d'un temple chrétien sans doute, tu ne saurais différencier une simple église du Vatican lui même de toute façon. Mais le papier était trop salis pour en lire d'avantages, tu pouvais voir une bouteille sur laquelle était inscrite les mots "Elixir de Santé du Vatican" ainsi que la mention "Vivez plus jeune, plus longtemps et en parfaite santé!". Tu trouvais que c'était de la connerie jusqu'à ce que tu vois que des gens avaient, par le passé, payer plus de 69$99 pour avoir cette bouteille de sirop religieuse! Et va savoir ce qu'il y avait dedans en plus! Surement pas d'l'eau bénite... Tu avais promis à certaines personnes de ne plus te mettre en danger. Il faut dire que tes activités principales étaient souvent hors la loi, considérer comme du vol le plus souvent, voir du trouble à l'ordre public. Tu mettais aussi tes connaissances chimiques à la fabrication de certaines substances illicites qui ne te rendaient pas fière mais qui grossissait ton porte feuille, à l'époque. Avant elle. Avant ta copine. Oui ta merveilleuse copine Rogus! Ta Feyre adorée, dragonne de ton cœur qui fait explosé un feu d'artifice dans ta poitrine dès que tu as une pensée pour elle! Tu lui avais promis de ne plus te mettre en danger inutilement. Mais tu ne pouvais pas non plus trouver un travail comme tous le monde, tu n''avais fais ni études, ni n'avait de diplômes malgré ton savoir faire en matière de chimie, de potion ou même d'alchimie. Tu étais un autodidacte mon Rogus, tu te débrouillais toujours seul pour sortir de tes embrouilles. Alors tu as eu tôt fait de concocté une petite idée loufoque dont tu avais le secret. Tout une gamme de produits en faite! Allant du sirop miracle, à la sainte pommade et même jusqu'à l'eau bénite! Pour ton sirop, tu t'étais contenter d'un mélange de boisson sucré dans de l'eau, avec une touche de ta potion hilarante pour que les gens qui la boivent aient l'illusion de se sentir bien. Pour la pommade, une simple crème de cactus fabriqués grâce à ceux qui poussent un peu partout, tout particulièrement au jardin de la ville, et enfin l'eau bénite n'étaient rien de plus que de l'eau de pluie récupéré dans ton collecteur ... Donc voilà le fondement de ton arnaque, des produits inutiles et sans effets, mais vendus à prix d'or grâce à la crédulité de certaines personnes et de leurs croyances. Ce n'était pas très beau Rogus, mais bon dieu que c'était rentable! Tu avais commencé à faire du porte à porte en suivant des petits vieux aux sorties des églises, puis ça avait continuer à prendre de l'ampleur et tu encaissais les billets de 50$, de 100$ qui sortaient de tous ces portes monnaies comme si ils n'avaient toujours demander qu'à atterrir dans le tien! Mais tu jouais ton rôle, aussi, Rogus! Tu te faisais passé pour le parfait petit enfant de cœur, un bon mini-chrétien, un petit scout de la foi. Tu disais que tel personne étaient ton grand père, que tel vieille dame était ta grand mère. Rien n'était vrai, toutefois cela t'aurait bien plût. De n'être qu'un gosse normal qui faisait partie de ces congrégations. Ces vieilles personnes aimaient discutés pendant que tu leurs vantais tes produits, souvent ils te faisaient rentrer chez eux car tu serais la seule visite qu'ils auraient de la journée. Ils te racontaient n'importe quoi et dérivé dans des non-sens que tu te surprenais à trouver quand même drôle. Et puis on te servait toujours un petit jus de fruits avec des gateaux. Tu ne comprenais pas pourquoi leurs familles ne leurs rendaient pas plus souvent visite. Et ça t'avait mener jusqu'à avoir ton propre stand dans cette petite foire de paroisse, il te semble. En faite tu comprenais pas grand chose à toute leurs coutumes, tu te contentais de sourire et d'être poli. Tu faisais ton petit commercial comme un vendeur d'album de groupe chrétien en faisant valoir le fait que c'était des produits artisanaux appris à être fait dans un obscure camp d'adorateur de ce cher J-C, etc et blablabla. Tu pensais te faire une autre belle journée avec une super recette! Mais c'était avant que tu ne le vois débarquer. Pour toi, il détonne dans la foule forcément Rogus. Pour d'autres, c'est juste un gars un peu pâlot. Mais tu peux pas t'empecher de repenser à cette fameuse soirée. Un de ces soirs où tu faisais un truc stupidement dangereux parce que tu n'avais rien de précieux alors dans ta vie, et aussi parce que quitte à s'emmerder autant apporter un peu d'amusant chaos dans ce monde. Tu t'en foutais qu'on t'attrape, t'étais même prêt à en jouer. Et c'est ce que t'avait fait. En faisant tourner ce gars en bourrique, ce gars si terre à terre si convaincu que tu n'étais qu'un ado qui se prenait sans doute pour le fils imaginaire du personnage de Rogue dans Harry Potter, avec ces délires sur les potions. Tu lui avais fais essayer tes explosives artisanaux et pendant un moment tu l'avais presque trouvé cool, t'aurais bien voulu être son pote. Puis tout s'était mis à déraper, les alarmes, la police, ton pouvoir incontrôlable. La réaction de ce type, qui s'était mis à te chasser. Dans son regard, tu as l'impression d'être un faon paralysé qu'on aveugle avec de puissants phares de voiture. Puis il se tient face à ton stand. Il te dit que tu t'es trouver un travail mais il à pas l'air content pour toi, il à l'air de se mordre l'intérieur des joues, on dirait qu'il à juste envie de te bouffer. T'as la mauvaise sensation de la proie qui te tord les tripes comme un avertissement. Il regarde ton stand nonchalamment, il touche à tes arnaques et tu déglutis car t'es pas loin de la scène du puritain qui pointe son doigt en criant à la sorcellerie... Tous ces gens seraient prêt à te foutre sur le bucher dans la seconde, pour s'être moqué de leurs foi. "-Faut bien manger et payer son loyer." que tu lui réponds en essayant de paraitre détendu, alors que tu stress, que tu cherches un échappatoire. Fuir est ta réponse primordial au véritable danger. La seconde, c'est dans rire quand tu sais que tu peux le braver. Ambrose Atkins, le mec qui te regarde avec des yeux en forme de révolver, le type dont tu as conservé la blouse de laboratoire, blouse qui n'est d'ailleurs plus si blanches, pleines de traces de brûlures et de petits trous causés par tes produits corrosives. Il saisit un de tes produits, fait mines de l'observer puis il le laisse s'éclater au sol. Il fait mine de s'excuser mais tu sais qu'il fait ça pour te provoquer. Pour ce mec tu n'es pas juste un vaurien, un sale traine-la-rue. Tu es aussi un monstre, un anomalie dans ce monde qui appartient soit disant aux êtres humains. Tu ne sais pas si il en ait, mais définitivement Ambrose à une mentalité de chasseur. Et tu es dans son viseur, Rogus. "-J'te fais une promo s'tu veux. T'as qu'a prendre tout l'lot!" que tu rugis en posant tes mains sous ton stand et en poussant de toutes tes forces pour renverser le contenue de ton étalage sur Atkins de façon tout aussi brusque qu'inattendu. C'est vrai qu'au delà de tout ça, tu l'as laissé se démerder avec la police cette nuit là. Tu ne sais pas ce qui à pu lui arriver par la suite, comment ça avait entacher sa vie, si ça ne l'avait pas complètement détruite. A la façon dont il pourrait se refermer sur toi comme un piège à ours enragé, tu peux deviner qu'à cause de toi, il à du en chier. Mais tant pis t'y pouvait rien, tu pouvais pas te laisser attraper par qui que ce soit. Alors, cassos Rogus, et enfuis toi à toute jambes avant qu'Ambrose ne te choppe. |
- Ambrose AtkinsMEMBRE ◊ CHASSEURS
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Pseudo / Pronoms : Smanffson ▲ elle/ielMessages : 527Âge : 29 ans ▲ et pas toutes ses dentsNombre de dés : 1 dé classique ▲ 1 dé en armes à feu ▲ contrôle hormonal et cérébralRésidence : Phoenix ▲ avec Nova-BlueProfession : Scientifique ▲ dans le laboratoire d'ElishevaFaceclaim : Caleb Landry JonesPouvoirs/capacités : Botaniste ▲ Armes à feu (1 dé) ▲ contrôle hormonal et cérébralCrédits : vocivus (av) valhdia (aes) awona (forte inspi signa) a-child-ish (icon signa)Disponibilité RP : 2/2 (nova-blue, noël.le)Points : 1519Joueur•se
Re: mortal man (chaology II)
Ven 23 Déc 2022 - 21:51
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Le gamin n’a pas changé, à une exception, peut-être.
Rogus parle de loyer, de manger. Un de mes sourcils s’arque comme un arc, prêt à décocher une flèche. C’était étrange. Il n’avait pas cette pensée-là, à l’époque. Il ne s’est pas réellement soucié de mon loyer à payer quand il était venu foutre son bordel dans mon labo, à décimer fleurs et feuilles de partout dans les couloirs avant de finir sur des pissenlits explosifs enflammés. Toujours décidé à choisir un responsable de mes propres actions, aujourd’hui, Rogus serait une cible toute trouvée. Parfois, j’oublie que les gamins doivent travailler pour manger, mais ce n’était pas son genre, à Rogus. Il volait, filait, il était un courant d’air, une porte qui grince, une tête à claques, un ressort mal huilé, un soucis dans la matrice, une vis qui merdait dans l’engrenage. L’entendre parler de loyer, ça détonne, ça clashe, ça explose dans mes oreilles tandis que j’ai des flèches qui viennent s’armer du bout de ma langue. Je me demande si elle sera enflammée comme ses potions, ou si le liquide à mes pieds va se mettre par exploser pour me détruire une jambe.
Pourtant, c’est étonnant.
Je ne me dissous pas au contact de l’eau bénite. C’est rassurant. Même si c’est une contrefaçon, je prends le signe comme une approbation de mes actions. Je suis un clébard sans tête qui cherche des raisons à mes colères, et si elle pouvait se justifier par la fausseté et par le mensonge, Rogus serait une validation silencieuse. Il était impie, odieux, et surtout, et premièrement.
J’ai plus réellement envie de jouer ni de rire quand il me parle de sorcellerie. J’ignore ce dont il est capable, mais il n’y a pas d’explications physiques à ses potions explosives. Il n’y a pas de raisons aux policiers volants et tout le puzzle se refait dans ma tête. Rogus était dangereux, Rogus déchaînerait des passions dangereuses, Rogus était un problème et il fallait faire en sorte de l’éradiquer.
Rogus est un gamin.
C’est peut-être ça, le soucis.
Quand Rogus parle de parents absents, je peux voir qu’il est sincère et c’est un peu nauséeux que je constate qu’il y a plus en commun entre Rogus et moi qu’entre d’autres personnes. Il parle de loyer, et c’est un problème tristement banal. Dans son extraordinaire, Rogus est diablement
Alors, je souris un peu que l’eau bénite ne dissout pas totalement mon coeur. Il doit rester quelque chose de l’ordre du sympathique un peu, au fond, quelque part, un peu de désolé Rogus qui reste entre deux enjambées et -
Il me jette son putain de stand à la gueule.
Et l’eau pourrait me brûler un peu le visage. C’est désagréable, et je deviens une des gargouilles de cathédrale, à vouloir l’envoyer directement là où il appartient.
Je prends les brûlures de froid pour des brûlures éthiques quand la sensation est horrible sur mon corps. Mes vêtements sont trempés.
« Putain de bordel de merde. »
C’est très, très,
Aujourd’hui, j’aurai le permis de rétablir un peu de justice. On se fout pas de la gueule de l’Eternel sans conséquence. Ce n’est plus l’eau qui me brûle les os par le froid, mais le métal de ma croix qui semble s’enflammer, toute aussi colérique que moi.
Pour connaître Rogus, nul ne servait de courir. J’étais loin d’être bon sprinteur, préférant les cigarettes à mon cardio. Les poumons goudronnés, j’avais pas appris à dévaler l’asphalte plus rapidement. Il fallait la jouer fine et je prends un air sincèrement paniqué en le voyant s’éloigner.
« Excusez moi ! Mon petit frère vient de s’enfuir ! Aidez moi faut le rattraper ! »
Pas ici.
Je vois la foule et je me dis pas ici. Le Mall avait d’autres parties désaffectées, et surtout moins peuplées. M’élançant à sa poursuite, je connais moins le coin que lui, vivant d’habitude plus du côté de la Paradise Valley que d’Ahwatukee. Il avait l’avantage physique et géographique.
J’avais l’avantage de l’habit et de l’âge. Habillé sagement comme un bon américain endimanché, je détonne très peu dans ma chemise blanche et mon pantalon noir. Je suis propre sur moi, bien sage, et c’est avec quelques tressaillements de voix que je revêt le mensonge avec un peu de calme. Si j’étais mauvais Chasseur physiquement, je serai peut-être bon traqueur. Rogus avait beau courir comme un lapin, j’installerai mes pièges à chaque coin de rue.
Déjà, la rumeur s’élance le long de la rue et les regards se tournent vers le jeune homme en fuite. Je serai son grand frère inquiet, et j’irai plaider ma cause auprès des grands-mères démunies en ramassant leurs portes monnaies s’il le fallait.
Quand il y a ce petit groupe de gens qui tourne la tête, je les vois plus athlétique que moi. J’ignore s’ils sont des monstres aussi, eux. Je souris intérieurement. Au pire, c’était une belle ironie de niquer sa propre espèce.
« Excusez moi, mon petit frère vient de se tirer et … Putain c’est horrible … Sa mère elle va … Notre … enfin … Il est malade, j’ai ses médicaments, regardez ! » Je sors un flacon d’Alprazolam de mon sac, le mien. « C’est terrible, enfin, rattrapez le je vous en supplie et ... » Des tressaillements se font sentir dans ma voix.
J’ai la haine, j’ai la rage, j’ai le seum, je vois rouge et j’ai envie de déchaîner les éclairs sur ce gamin de merde. Certainement que ça aide à paraître paniqué, et pleurer un peu et que ma voix se sert comme mes mains se serreront autour de son cou, je l’espérais. Ils s’élancent et je souris en moi-même, soulagé. Mon problème serait réglé.
L’Apocalypse n’aurait pas lieu.
Pas aujourd’hui.
Pas demain.
Pas plus tard.
Nous avions le droit au bonheur, nous aussi.
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- Rogus NoneMEMBRE ◊ FIDELES
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Re: mortal man (chaology II)
Dim 12 Fév 2023 - 13:32
Chaology II
Il court, il court le Rogus ~ Oui, tu es très doué à cet exercice. D'ordinaire, t'enfuir à toute jambe comme un personnage de cartoon, ne laissant que ta silhouette fumante derrière toi, est ta solution miracle. Oui contre n'importe qui généralement, ça marche. Mais ça ne marche qu'une fois. A la seconde, l'adversaire s'y attends forcément. Et tu sais qu'Ambrose en as dans la caboche. Mais une stratégie comme ça, franchement, tu l'avais pas vu venir. Tu savais que le scientifique n'avait pas la forme nécessaire pour te courser, qu'au milieu de la foule il n'agirait sans doute pas aussi follement que lors de votre dernière incartade, même si tu avais ressentis la menace. Tu provoques les étonnements, les stupéfactions, et toutes autres réactions d'indignation sur ton passage. T'façon t'es grillé t'en as un peu plus rien à foutre de l'image que tu renvoies du coup. Tu te contentes de foncer avec les billets verts de ces pauvres gens dont tu as quant même un peu plus besoin pour vivre, entendons-nous là dessus! Bon, c'est vrai que tu les arnaquais éhontément, mais en même temps, ils voulaient tous bien y croire à ces produits. Tu ne faisais pas pire qu'un quelconque vendeurs de produits bio ou fait maisons en fin de compte, alors que tu pourrais. Avec tes connaissances, totalement aléatoires, mais assez poussé en chimie, t'es quand même capable de cuisiner certaines choses beaucoup plus illégales et qui te serait peut-être plus rentable. Mais c'était de l'argent devenue trop sale pour la personne que tu désirais être à présent Rogus. Mais revenons à la manière dont Ambrose à finit par t'attraper. Enfin Ambrose, disons plutôt son escouade de gros bras sortie de nulle part qui t'ont tacler comme dans un match de Rugby Pro alors que t'es qu'un format poussin! L'espace d'un instant, t'as l'impression d'être revenue à l'école et qu'un groupe de mec s'amuse à t'embête alors que tu t'occupais tranquillement de tes affaires dans la cour. Si ça n'en à pas l'air, cela en à la nostalgique, et douloureuse odeurs. Celles des aisselles, à vrai dire. Comment, de quel manière et de quel façons ils t'ont choper ? Peut-être qu'il y avait un surnat' dans le lot qui t'as ralentie ou fait passer à travers un portail durant ta course, en tout cas t'es plaqué au sol et même si tu te débats comme un beau petit diablotin... T'es fais comme un putain de rat. Tu les entends répétés ce qu'Ambrose avait dû leurs murmurés car t'en entends qui parle de pilules à prendre, d'un gamin vraiment perturbé, d'un frère qui à vraiment du courage d'avoir une tornade comme ça à sa charge. Bref tu bouges des épaules, t'essaye d'avoir une prise sur quelque chose qui pourrait te sortir de cette situation, une potion, n'importe quoi. Mais rien n'est à ta portée. Il te reste un dernier outil, que tu te refuses à utiliser à cause de son double tranchant. Tant pis, on peut pas gagner toute les parties à tous les coups, Rogus. Pour cette fois, tu t'es fais attrapé. Tu vas recevoir un foutu gage! Ambrose approche, tranquillement, sans doute une clope au coin du bec, fier que son plan ai fonctionné sans le moindre accroc. La meute de sportif avise donc celui qui les à siffler pour entré en action, sans doute simplement content d'avoir montrer leurs muscles tout en rendant service à la communauté. "-Tiens on t'l'a choppé ton frangin, il détalle comme un vrai lapin j'te jure. C'est genre un hyperactif c'gamin ?", "-Ou alors il est bipolaire", "-Ou c'est un p'tit schizo" Ou ceci, ou cela. Bref, ils y vont tous de leurs petits commentaires, mais toi tu sens Rogus le regard de fer du chasseur au dessus de toi. Sauf qu'il y avait toujours trois rounds dans les jeux d'combat. A toi de gagner le suivant. Malgré ta position, tu arrives à relever les yeux vers ton "grand-frère" et tu lui fais un sourire amusé, provoquant, dont tu avais la recette quoi! "-Oh, j'ai oublié encore oublié mes médocs, Big Bro' ?~" |
- Ambrose AtkinsMEMBRE ◊ CHASSEURS
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Re: mortal man (chaology II)
Jeu 23 Fév 2023 - 16:01
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TW IMPORTANTS : drogue contre le gré d'une personne, psychophobie, validisme, extrême violence à venir
Si nous étions frères, notre arbre généalogique serait affreux. Son sang de sorcier coulerait dans mes veines, empoisonnant mes canaux et intoxiquant des globules rouges qui se teinterait de couleurs étranges, impossibles, absurdes. Si nous étions frères, je l’aurai emmené au square jusqu’à apprendre sa nature. J’aurai été désolé, en premier lieu. Je ne l’aurai pas cru. J’aurai tenté de trouver d’autres possibilités, d’autres interprétations.
Finalement, ça n’aurait
Non,
Il avait arnaqué, humilié,
Quand il m’appelle bro, mes dents se serrent autour de ma lèvre.
Non,
Mon sac tremble au rythme de mes respirations secouées. Rogus provoquait aux portes de la menace. Rogus pensait que j’étais un putain d’incapable. Il semble rire, et ses éclats de voix fracassent du verre dans mon crâne. J’en vois que des reflets éclatés. Il me renvoie mon incapacité à me présenter comme une menace, avec mes poumons trop usés et ma force insuffisante. Rogus n’avait même pas sa majorité, et il m’effrayait.
Alors, il était plus simple d’être en colère contre lui que d’avouer que j’avais peur d’un gamin. Du regard, je jauge ses capacités et vient creuser le fond de ma mémoire. Il avait soulevé dans les airs les policiers, mais il avait fallu que je l’insulte. Il avait fait tout explosé, mais c’était ses fioles qui avaient tout fait.
Sans l’énervement, sans provocation, sans tes mains, qu’est-ce que tu es capable de faire, Rogus ?
« Oui, Rogus, ça fait la troisième fois cette semaine. » je dis avec un léger sourire que je veux affectueux.
Ma voix est mièvre, fatiguée et légèrement amusée. Je suis un grand frère inquiet, rassuré, heureux de le revoir. Je m’éloigne peu de la réalité. Il aurait pu s’échapper une nouvelle fois. Aujourd’hui, Rogus allait perdre son sourire moqueur, sa voix enjouée et ses courses effrénées.
Ca suffisait, de servir à rien, de rien pouvoir faire face à des gamins, de craindre tous les membres de chaque personne de peur que des mains en sortent, d’avoir peur le soir en rentrant qu’un dragon sorte de nulle part et viennent me bouffer, d’avoir que ma croix en protection caduque et mon pistolet inutile face à des êtres qui pourraient contrôler le métal. Non. Ca me fait plus rire, les films de super-héros, tant j’ai compris rapidement que je serai un personnage du décor, tertiaire, inutile, ou que pire, je serai le premier à crever le jour où ils décideront de refaire cramer la Terre parce qu’ils en avaient le pouvoir, parce que Rogus pouvait faire voler des êtres humains et les faire s’écraser à dix mètres au dessus du sol.
Non. C’était trop. C’était pas bien. Aujourd’hui, ça finirait.
Face à cette conclusion désastreuse, je le mets gentiment par le bras et hoche la tête en direction des inconnus.
« Merci infiniment, messieurs, je - … Il fait toujours ça en ce moment et … C’est peut-être dur pour lui mais tout de même et … Tiens, Rogus, prends les, tes médicaments, on rentre à la maison je nous appelle un Uber, d’accord ? »
Je souris et sors de mon sac un tube orange ressemblant à un vulgaire emballage de médicaments. J’en prends trois comprimés et lui tend avec un sourire.
Ce laboratoire fut le nôtre l’espace d’une soirée. Ce serait mentir de dire que ce n’était pas agréable, de démolir les voitures de collègues affreux. Dans ce laboratoire qui fut le nôtre, cette nuit-là, Rogus a pu voir que nous produisons de l’homéogène. Ses principes actifs, bouillis et surdosés, étaient toxiques.
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- Rogus NoneMEMBRE ◊ FIDELES
- Personnage◊ :Pseudo / Pronoms : Even, ilMessages : 117Âge : 17 ansNombre de dés : 1Résidence : Décharge de PhoenixProfession : Sans Emploi FixeFaceclaim : Thomas Brodie-StagnerPouvoirs/capacités : Alchimie, potion et psychokinésieCrédits : StrangeHellDisponibilité RP : Toujours ouvert à la discussionMulticomptes : Caïn Stonegold & Noël.le DumasPoints : 211Joueur•se
Re: mortal man (chaology II)
Jeu 15 Juin 2023 - 9:25
Chaology II
T'es dans la MERDE majuscule cette fois mon Rogus. T'aimerais simplement revenir à cette nuit d'amusement dans le laboratoire, avant que tout ne dérape. Sous ces airs palots et épuisés de la vie, Ambrose à un côté sympa... Juste tu comprends pas tout à fait ce qui le fait griller avec toi. Hormis le fait que tu as vachement gâcher sa vie, mais cet aspect mis à part de l'équation, il est vrai que ces raisons te semblent assez nébuleuses. C'est clair qu'il à la haine et que tu n'es qu'une sorte de catharsis pour lui. Et franchement t'as pas envie de creuser si profond dans sa psyché. Faut que tu trouve un moyen de te sortir de là, mais d'échappatoire il n'y en a aucuns. Tu es comme le renardeau acculé par le chasseur et ces chiens, leurs babines et leurs museaux sont pointés sur toi, leurs yeux obéissant te fixent en l'attente d'une directive ou bien d'un mouvement malencontreux de ta part. Jusqu'à ce qu'il sorte ces putains de médocs de sa poche... Merde, merde et merde! T'as passé trop peu de temps dans le laboratoire homéopathique dans lequel Ambrose travaillait jadis, dans sa vie d'avant votre rencontre, pour savoir tout ce qu'il pouvait produire. Mais de ce que tu avais pu en chiper, tu savais bien qu'il pouvait s'agir de n'importe quoi. Tranquillisant, hallucinogène, poison ... Tu savais bien que c'était pas des putains de dolipranes qu'il te refiler ! Tu avises les cachets d'un oeil mauvais et tu te dis que c'est sans doute la fin. Tu n'es qu'un animal errant qui s'est fait finalement attrapé par la fourrière, la pillule va être dur à avaler, littéralement mais tu sais bien que la fin de ce chemin est plus que glauque. Tu pourrais faire semblant, Rogus. C'était une option, sauf que tu as l'impression que les gaillards d'Ambrose ne vont pas vous lâcher avant que tu n'es obéis aux directives de ton "grand-frère". Avec la pression de leurs regards et leurs muscles prêts à agir au nom de l'histoire toute ficelé du chasseur, j'attrapes les trois cachets dans la paume d'Ambrose et je les avales comme des jelly beans, en faisant bien exprès de produire un son de déglutition bien audible pour ma cour. J'ouvre grand, baisse puis soulève la langue comme ces pauvres âmes tourmentés que l'on préfère cloître à l'égard du monde. "-Z'etes ontent, ande de ons ?!" tentes-tu d'articuler la gueule grande ouverte tel le lion de cirque faisant son numéro. Puis c'est là que tout commence à devenir un peu spé autour de toi. À l'intérieur de toi. La troupe se dissipe mais Ambrose continue à te tenir fermement le bras, tu commences à te sentir mou. Tu voudrais faire un mouvement vif et brusque pour te dégager, qui le surprendrait à tout les coups et qui te permettrait de fuir. Mais c'est comme si l'information restait bloqué au niveau de ton cerveau, ne voulait pas parcourir ton système pour activité ta machinerie charnelle. Tu te sens en train de plongé, comme l'intro de ce vieu jeu vidéo que tu avais retrouvé en même temps qu'une PS2 à moitié cassé que tu avais réussi à retaper. Dans ce jeu il y avait un gamin, d'a peu près ton âge à l'époque, il maniait une grosse clé mais au tout début il rêvait, et il tombait dans l'eau, plongé et s'enfoncer toujours d'avantages dans les abysses du rêves. Ton corps se laisse tomber en arrière comme cette animation et toi-même tu as l'impression de plongé, profondément... Du coup tu skip totalement, mais alors totalement la partie du trajet Uber qu'avait mentionner Ambrose, tu es sous l'emprise de la drogue et il peut faire littéralement ce qu'il veut de ta personne. Tu ne penses pas qu'il irait jusqu'à te tuer, quand même ? Mais tu dois avouer que tu n'as plus trop envie d'être son camarade de jeu à présent.... Lorsque tu reprends peu à peu tes esprits, c'est pour entrevoir la lumière vacillante et crade d'une ampoule jaunie dans une sorte de salle de béton vieillis et aux traces d'usures. Tu ne sais absolument pas ou est-ce que tu te trouvées, Rogus. Tu as la bouche pâteuse et ta voix te semble enroué pourtant après quelques essais, tu finis par remonté ta tête et observait autour de toi. Comment est-ce que tu vas te sortir de là ? Est-ce que tu vas revoir Feyre ? Au fond Rogus, tu y vois comme une leçon de Karma, le retour de bâton cosmique de la merde inconsciente que tu avais laisser derrière ton passage, alors puisque ça allait bien dans ta vie dernièrement, il fallait bien remettre les compteurs à zéro. Tu n'as jamais été du genre à te laisser impressionné, Rogus. Car montrer ta peur et l'emprise que l'on peut avoir sur toi te fera paraître faible. Ton masque rieur d'arrogance est un bouclier derrière lequel tu peux répliquer à coup de provocation jusqu'à trouver le bon angle d'attaques. -Putain, Ambrose... T'as trop regardé de série sur Jeffrey Dahmer, toi. J'suis pas spécialement fan du genre horrifique, mais là t'es pied au plancher mon pote." |
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