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Odalie Maelström
Odalie Maelström
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Pseudo / Pronoms : Valhdia
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Âge : 27 ANS (03/07/1994) ♦ encore jeune et bien l'intention de ne pas vieillir trop vite
Nombre de dés : contrôle sonore ♦ 1, hypnose/persuasion ♦ 3
Résidence : NOUVELLE ORLÉANS ♦ appartement à Pontchartrain
Profession : GESTIONNAIRE du disquaire indépendant Peaches Records ♦ BRISEUSE de coeurs et de sommiers
Faceclaim : Cynthia Senek
Pouvoirs/capacités : SIRENE ♦ spécialisée dans la manipulation d'autrui par le son de sa voix
Crédits : swan (ava)
Disponibilité RP : Azur, Alaric, Jade, toi ?
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Lun 15 Jan 2024 - 20:24
so you wanna talk about power?
odalie & delilah

I'm sick, yeah, and honestly, I'm getting high off it. Do you wanna see a magic trick? 'Cause you don't know what you don't know, but I eat boys like you for breakfast, one by one, hung on my necklace. And they'll always be mine, it makes me feel alive. I never said it's right but I'm gonna keep doing it.


tw : dissociation, hypersexualisation, compétition entre meufs (la sororité on connaît pas ici)

7 avril 2022

Les yeux cernés, le teint cireux, elle n’était qu’une marionnette empêtrée dans ses propres fils. Tout ce qu’elle pensait contrôler, son existence et ses pensées ; tout ce qu’elle avait cru pouvoir tenir dans le creux de sa main gracile, la corde de ce cerf-volant qu’elle avait pensé être sa vie. Tout lui avait échappé. A resserrer les doigts autour de ce qu’elle voulait garder, elle n’avait réussi qu’à se brûler violemment la paume. Les révélations avaient laissé entre les lignes de sa main une marque rouge, sévère et violente, qui ne semblait pas se dissiper avec les semaines qui passaient.
C’était injuste. Injuste d’apprendre que ce qu’elle voulait était à portée de sa main et qu’elle avait trop attendu pour espérer un jour l’atteindre. Injuste de songer à l’avant, à la relecture embrouillée de tous ces instants qui maintenant n’avaient un goût que de poussière. Injuste de rester recroquevillée avec un t-shirt d’Alaric passé autour de ses genoux, espérant trouver des réponses là où il n’y avait que du vide.
Odalie se tenait debout à l’orée d’une falaise trop haute pour qu’il vaille la peine de sauter et, à force de trop s’agripper à ce cerf-volant abimé, elle allait simplement tomber quand viendrait la prochaine bourrasque. Avec Marisol sur le canapé, elle avait passé des heures à décortiquer, analyser, à disséquer ce myocarde lâche qu’elle épinglait sur sa paillasse comme si elle pouvait le comprendre. Bien sûr, qu’elle était amoureuse de Bach. Ça ne rendait que plus cruel la constatation indéniable qu’ils ne pouvaient pas être ensemble, maintenant encore moins que jamais, à cause de tout ce qu’ils avaient eu et de tout ce qu’ils n’auraient plus.
Alors, pour garder le contrôle alors que tout lui échappait, elle rembobinait la ficelle qui retenait le cerf-volant, quitte à s’en esquinter les mains en manipulant l’enrouleur. Elle forçait, de tous ses biceps, pour garder un petit peu encore l’illusion qu’elle tenait debout. Pour cela, la brune avait sa plus belle parure de paonne, coloré son teint de fantôme avec des couleurs illusoires et nappé sa silhouette entière de mirages qui ne fonctionnaient plus. Dans le miroir, un sourire épinglé aux traits, elle voyait toujours la même chose : cette jeune adulte pleine d’assurance, au sourire un peu trop appuyé pour ne pas être séducteur. Pourtant, c’était un simulacre, une pâle copie de la femme qu’elle pensait toujours incarner.
Comme toujours, lorsqu’elle allait mal, Odalie cherchait dans des bras qui ne la questionneraient jamais le réconfort dont elle manquait.

En entrant dans le bar bondé, elle eut un regard circulaire, jaugeant du regard les quelques hommes qui s’étaient arrêtés de parler pour le regarder avancer. D’un geste lent, elle remit une mèche de cheveux échappée derrière son oreille, laissant à tous le temps de voir l’armure dont elle s’était parée.
Le regard indolent, elle avisa quelques spécimens vraisemblablement déjà cuits, prêts à lui offrir une place sur la banquette à côté d’eux. Aucun challenge ; elle ne tirerait de ceux-là qu’une satisfaction passagère, qui s’éteindrait contre ses lèvres dans une violente chute dans le vide. Non. Elle avait besoin d’un défi, elle avait besoin de quelqu’un qui n’était pas déjà acquis, déjà pays conquis ici.
Sur l’une des tables rondes du fond, il y avait un homme de son âge qui n’avait jeté à la brune qu’un petit coup d’œil à son entrée. Suffisant pour manifester son intérêt ; suffisant pour être un challenge. A côté de lui, sur la banquette, se tenait une fille à l’air boudeur qu’Odalie avait l’impression d’avoir déjà vu quelque part.
Un sourire se forma sur ses lèvres. Bingo.

En quelques enjambées, elle se laisse tomber à la droite de l’homme en question, avec un sourire innocent pour l’autre qui l’accompagnait.
« Bonsoir. » fit-elle, les cils soudainement clignotants. « Pardonnez-moi, mais j’ai croisé votre regard, et j’ai eu l’impression que vous aviez besoin que quelqu’un vous sorte de l’impasse que formait votre conversation. »
Une minuscule pointe d’influence sirène se distilla dans ses paroles, sans même qu’elle n’y prête attention. La blonde, au verre bien entamé, lui jeta un œil assassin auquel elle répondit seulement par un sourire resplendissant. Reposant son regard sur l’homme, elle ajouta d’une voix suave.
« Je me trompe ? »

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Delilah Eisenbach
Delilah Eisenbach
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Pseudo / Pronoms : Titus (il)
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Âge : 25 ans
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Résidence : Phoenix, Roosevelt Row
Profession : Créatrice de contenus numériques
Faceclaim : Cara Delevingne
Pouvoirs/capacités : Gorgone de niveau 1
Crédits : signa code by Ross, avatar par mooncalf, aes par Valh
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Multicomptes : Dakota / Viktoria / Azur / Enfys / Gabrielle
Points : 195
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Mer 14 Fév 2024 - 18:12
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It makes me feel alive
Certains hommes donnent directement envie de retourner voir ses chats. À chaque fois que Philip parle doctement de prêts immobiliers, Delilah imagine la série qu’elle pourrait regarder, en boule contre Leliana et en pyjama, Samus et Yoshi probablement en train de faire un match de catch sur le tapis. Seulement, voilà, le brun a trop de followers sur insta pour qu’elle puisse se contenter de se barrer sans raison : elle a trop de projets à venir le mois prochain pour laisser un bad buzz lui faire de l’ombre. Alors, de toute façon, elle a déjà revêtu son armure donc autant se mesurer au combat. Elle sourit comme si elle était dans une putain de comédie romantique avec Camilla Mendes, rigole comme si c’était un late show et que chacune de ses réactions étaient épiées par des caméras et fait briller les yeux du gars assez souvent pour que l’éclat retombe un peu sur elle, qu’elle se sente moins utilisée qu’elle ne l’est vraiment.

Entre une bombe. Déjà parce que la brune est magnifique mais surtout parce qu’elle est hautement désagréable. À peine arrivée qu’elle insulte déjà Delilah, en plus son outfit lui ressemble beaucoup et un certain nombre d’yeux cessent de coller à la blonde pour partir au loin. Non mais, franchement, c’est quoi son problème ? Parce que, techniquement, la gorgone est ravie qu’on la sorte de l’enfer de ce date. Elle a aussi un code serpentin de l’honneur de ne pas se battre pour un mec. La logique voudrait qu’elle laisse le rasoir et l’importune se faire des yeux doux dans leur coin pendant qu’elle irait enfin parler à la jolie coréenne qui lui fait de l’œil depuis qu’elle est rentrée dans le bar. Delilah, cependant, n’est pas connue pour sa logique. Elle a la rage. Elle veut tuer sa mère, détruire son père, raser le gouvernement, sacrifier tous ses amis, éteindre toutes ses relations et se tuer sur un lit de Sardanapale où elle aurait mis tout ce qu’elle hait. Elle cherche le feu à tout prix alors l’étincelle tendue par l’insolente sera un prétexte parfait.

Je sais pas de quel trou du cul du monde tu sors toi, mais c’est 2022 : si tu veux un plan à trois tu peux juste nous offrir à boire, t’as pas besoin d’insulter l’autre nana comme en 1830, espèce de bouff…

Hé hé hé, venez on se calme.

Le regard de Delilah pour Philip, qui a osé l’interrompre, pourrait presque le pétrifier sans qu’elle utilise ses pouvoirs. Il n’y aura peut-être pas qu’un cadavre ce soir dans ce bar. Seulement, le gars a soit du courage soit de l’inconscience car il continue.

Je suis Phil, elle c’est Tempest. On était pas dans une impasse mais tu pourras peut-être apporter quelque chose à notre conversation : on était en train de partager notre colère envers tous les groupes de rock modernes genre The Doors qui volent les leitmotivs des grands compositeurs comme Ravel ou Debussy. T’en penses quoi toi ?

Les sourcils de la gorgone sont haussés jusqu’au plafond. Aux dernières nouvelles, ils étaient en train de parler des meilleures voitures à conduire dans les bouchons. Ou alors elle a confondu Ford et Doors à cause de l’accent français du gars. Dans tous les cas, elle attend de voir ce que la bimbo d’un soir va répondre à une question aussi ennuyeuse et réactionnaire.
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Tempest
She's both snake and apple
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Odalie Maelström
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so you wanna talk about power? ♦ odalie & delilah Empty Re: so you wanna talk about power? ♦ odalie & delilah

Ven 26 Avr 2024 - 23:49
so you wanna talk about power?
odalie & delilah

I'm sick, yeah, and honestly, I'm getting high off it. Do you wanna see a magic trick? 'Cause you don't know what you don't know, but I eat boys like you for breakfast, one by one, hung on my necklace. And they'll always be mine, it makes me feel alive. I never said it's right but I'm gonna keep doing it.


tw : dissociation, hypersexualisation, compétition entre meufs (la sororité on connaît pas ici)
disclaimer : Odalie (le perso) est nettement plus calée que Valh (la joueuse) en ce qui concerne la musique et tout, donc j'ai aucune idée de si son speech tient la route ou non, je vous prierais d'agir comme si elle venait de faire une réussite critique en Charisme & Sagesse. cimer.

« Je sais pas de quel trou du cul du monde tu sors toi, mais c’est 2022 : si tu veux un plan à trois tu peux juste nous offrir à boire, t’as pas besoin d’insulter l’autre nana comme en 1830, espèce de bouff… »
« Hé hé hé, venez on se calme. »
Odalie haussa un sourcil triomphal en direction de la jeune femme, l’air de dire ’désolée, morue, ça suffit pas de mal parler pour apparaître comme séduisante’. Non et puis cette histoire de plan à trois ? Ridicule. Même avec son grain de peau absolument désastreux des dernières semaines, elle n’avait pas besoin de partager quoi que ce soit avec qui que ce soit. Elle s’en sortait très bien toute seule, dans tous les domaines, et ce n’était pas une genZ aux cheveux décolorés qui allait lui faire changer ça.
Tandis qu’elles reportaient toutes les deux leur attention sur le troisième larron de cette conversation sans tête, la sirène enfila sans peine son parfait costume d’ingénue, sourire tranquille et yeux qui brillent pour écouter ce que, certainement, l’inconnu déblatérerait avec son accent que certains pourraient presque trouver charmant.

« Je suis Phil, elle c’est Tempest. On était pas dans une impasse mais tu pourras peut-être apporter quelque chose à notre conversation : on était en train de partager notre colère envers tous les groupes de rock modernes genre The Doors qui volent les leitmotivs des grands compositeurs comme Ravel ou Debussy. T’en penses quoi toi ? »
Vaguement sonnée, la brune cligna un peu des paupières : pas vraiment le genre de conversation qu’elle s’attendait à tenir ce soir, mais soit. Touchée en plein cœur de son domaine d’expertise, elle fronça un sourcil expert sur le jugement hâtif du garçon.
« Votre … colère ? » Malgré elle, elle ne retint pas son étonnement : ni l’un ni l’autre, à cette petite table n’avait l’air particulièrement en colère avant que Barbie 2000 ne s’offusque qu’elle ait des outfits similaires. « J’ai l’impression, Phil, que le terme est un peu fort, non ? »
Le clin d’œil était  complice mais derrière lui, la marée montait – qu’est-ce-que ce compatriote français cherchait, au juste, en empiétant sur ses plates-bandes ? Le sourire d’Odalie se glaça et sa main, lorsqu’elle vint se poser doucement sur le bras du jeune homme, serra un peu plus qu’elle ne devrait.
« Déjà, moderne, The Doors ?! On parle d’un groupe qui a été dissous en 1973, mon grand, c’est certes récent par rapport à Ravel mais vu comme la production musicale a explosé en termes de quantité sur les trente dernières années, j’ai peur que tu ne sois plus très à la page si Jim Morrison est ton référentiel. » Light my fire, moron. Odalie secoua une main, perdue entre son jeu de parfaite conquête pour la soirée et celui de la mélomane qui avait du mal à supporter des remarques de ce genre-là. « Ensuite, c’est normal que des thèmes musicaux reviennent dans des compositions ultérieures : c’est de l’inspiration, c’est tout. Heureusement, d’ailleurs, qu’on ne réinvente pas l’eau tiède à chaque fois que quelqu’un décide d’écrire un morceau – on resterait bloqués face à notre obsession de trouver de nouvelles mélodies, et on aurait nettement moins d’espace pour expérimenter d’autres choses musicalement, des instruments différents, du mixage, etc. Tes ‘grands’ compositeurs, là, d’ailleurs, ils ont probablement tiré leur inspiration de quelque part : c’est juste qu’on en a pas la trace. » D’un ton sentencieux, elle conclut. « Moi, ce que je pense, c’est que la musique se renouvelle sans cesse, quelle que soit la forme que ça prend. »
Et, avec un sourire complice, sa main quitta le bras de Phil pour s’emparer du cocktail de celui-ci et en boire plusieurs longues gorgées en faisant de grands bruits de paille. Les yeux oscillants entre ses deux interlocuteurs, Odalie finit par s’intéresser à celle des deux qui semblait, et de loin, la plus perdue dans toute l’histoire.
« Toi, hum… Tempest, c’est ça ? » Bien sûr, que c’était ça ; mais pour rien au monde la sirène ne manquerait une occasion de l’agacer. « C’est pas un peu curieux, comme prénom, d’ailleurs ? ça ressemble plutôt à un nom de scène – tu es musicienne ? »
La tête penchée sur le côté, comme un chat qui attend que l’oiseau se mette à nouveau à pépier pour jaillir sur lui tel un fauve, la brune eut un petit sourire.
« C’est quoi, ton opinion hautement éclairée sur Debussy ? »

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