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- Azur RiverwoodMEMBRE ◊ RESISTANCE
- Personnage◊ :
Pseudo / Pronoms : Titus (il)Messages : 173Âge : 31Nom rebelle : CarcassoneNombre de dés : 3Résidence : Nouvelle-Orléans, Pine VillageProfession : Doctorant en sciences politiques à l'université de la Nouvelle-Orléans, assistant de la maire de la même ville et bénévole au Dôme ainsi qu'à la Rose noireFaceclaim : Pierre NineyPouvoirs/capacités : Dragon de ventCrédits : avatar : INES LA QUEEN; picrew : SmanffsonDisponibilité RP : oui !Multicomptes : Dakota / Viktoria / Enfys / Gabrielle / DelilahPoints : 457Joueur•se
Re: Odazur II / Paroles, paroles, paroles
Jeu 11 Jan 2024 - 21:41
Au premier « non », tu glisses prestement de la brune et de son lit afin de t’asseoir à côté, la tête seulement posée sur le matelas et tes mains cherchant quelques vêtements pour toi et la demoiselle. Il faut cacher ta nudité ainsi qu’une pointe de déception, quand même : tant pis, après tout tu as passé une super Saint-Valentin et…
Est-ce qu’elle t’as appelé Gérard ?
Tu t’interromps dans ta recherche de vêtement pour la fixer en silence et avec une nuée de points d’interrogation autour de ta tête à claques. De quoi la chemise, d’où la plage, de qui le Roqrouge ? Un instant tu te demandes si son disquaire est pas en fait un putain d’escape game et que tu viens de rentrer dans l’énigme au moment où tu espérais rentrer dans le moment amusant.
Non, non, elle a pas le regard de quelqu’un qui joue. Enfin, si, un peu, mais plutôt celui de celle qui a fini de jouer, l’actrice qui vient de faire son numéro et qui laisse le rideau écarlate tenter de la masquer tandis que les roses pleuvent sur sa beauté et son talent. Seulement, la seule chose que tu veux lui jeter, c’est des questions, alors on est pas rendu.
Disons-le, Azur, t’es pas ravi d’entendre le nom Roqrouge à un moment où tu voulais t’abandonner dans les bras d’une belle inconnue. Tu apprécies pas que d’un coup revienne dans ta mémoire la blessure de l’abandon de toute ta famille alors que tu te laissais aller avec la première personne à te parler français depuis des lustres. On va pas se mentir, très cher dragon, c’est pas ton moment de joie le plus intense.
Mais, au moins, tu crois bien te souvenir qui est cette Amélia qui te fait tourner la tête et te poser tant de questions depuis des heures.
Putain, Mélanie, c’est toi ? Je me disais bien que t’avais pas du tout l’accent parigot ! Tu dates ! Qu’est-ce que tu fous là ? mon oncle m’avait dit que tu étais retournée à Arcachon pour surveiller le clan djinn du Cap Ferret ! Ils sont arrivés en Louisiane ?
Mais oui, champion, tu as dead ça. Il semblerait que, toi, tu te souviennes pas des catchprases d’une PNJ de six ans sur la côte d’Azur.
Est-ce qu’elle t’as appelé Gérard ?
Tu t’interromps dans ta recherche de vêtement pour la fixer en silence et avec une nuée de points d’interrogation autour de ta tête à claques. De quoi la chemise, d’où la plage, de qui le Roqrouge ? Un instant tu te demandes si son disquaire est pas en fait un putain d’escape game et que tu viens de rentrer dans l’énigme au moment où tu espérais rentrer dans le moment amusant.
Non, non, elle a pas le regard de quelqu’un qui joue. Enfin, si, un peu, mais plutôt celui de celle qui a fini de jouer, l’actrice qui vient de faire son numéro et qui laisse le rideau écarlate tenter de la masquer tandis que les roses pleuvent sur sa beauté et son talent. Seulement, la seule chose que tu veux lui jeter, c’est des questions, alors on est pas rendu.
Disons-le, Azur, t’es pas ravi d’entendre le nom Roqrouge à un moment où tu voulais t’abandonner dans les bras d’une belle inconnue. Tu apprécies pas que d’un coup revienne dans ta mémoire la blessure de l’abandon de toute ta famille alors que tu te laissais aller avec la première personne à te parler français depuis des lustres. On va pas se mentir, très cher dragon, c’est pas ton moment de joie le plus intense.
Mais, au moins, tu crois bien te souvenir qui est cette Amélia qui te fait tourner la tête et te poser tant de questions depuis des heures.
Mais oui, champion, tu as dead ça. Il semblerait que, toi, tu te souviennes pas des catchprases d’une PNJ de six ans sur la côte d’Azur.
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- Odalie MaelströmMEMBRE ◊ INDEPENDANT·E
- Personnage◊ :
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i hate accidents except when we went from friends to this
Pseudo / Pronoms : ValhdiaMessages : 972Âge : 27 ANS (03/07/1994) ♦ encore jeune et bien l'intention de ne pas vieillir trop viteNombre de dés : contrôle sonore ♦ 1, hypnose/persuasion ♦ 3Résidence : NOUVELLE ORLÉANS ♦ appartement à PontchartrainProfession : GESTIONNAIRE du disquaire indépendant Peaches Records ♦ BRISEUSE de coeurs et de sommiersFaceclaim : Cynthia SenekPouvoirs/capacités : SIRENE ♦ spécialisée dans la manipulation d'autrui par le son de sa voixCrédits : swan (ava)Disponibilité RP : Azur, Alaric, Jade, toi ?Multicomptes : Caliban & Sol & Orpheus & Althéa & Aurore & Nova-Blue & Llyr & Jasper & BoréePoints : 1363Joueur•se
Re: Odazur II / Paroles, paroles, paroles
Lun 29 Jan 2024 - 19:02
paroles, paroles, paroles
odalie & azur ii
♢
Caramels, bonbons & chocolats ... Merci pas pour moi, tu peux bien les offrir à une autre qui aimera le parfum des fleurs ; moi les mots tendres enrobés de douceur se posent sur ma bouche mais jamais sur mon cœur.
Déjà en pleine jubilation, Odalie s’attendait à savourer la confusion, voir le visage d’Azur se tordre sous son propre effarement. Elle s’était passée la scène plusieurs fois depuis le début de la semaine, à imaginer le triomphe de voir l’homme alpha dans toute sa splendeur réaliser qu’il se faisait humilier par celle qu’il avait humilié.
Elle s’était attendue à son incompréhension, bien sûr, mais n’avait pas réellement su s’il partirait dans sa colère ou, au contraire, l’humilité. Une partie d’elle – la plus adulte – espérait silencieusement qu’ils pourraient en rire tous les deux et simplement se considérer quitte. L’autre s’attendait à un déchaînement orageux, à de grands esclandres savoureux qu’elle aurait regardé, de l’extérieur, une margarita à la main.
Hélas, rien de tout cela ne se présenta.
Il n’y eut qu’un retour de flammes qui vint lui brûler le bout des cils et la laisser interloquée. Mélanie, qu’il venait de l’appeler, à évoquer des lieux français aux noms plus ridicules les uns que les autres.
Une fraction de seconde environ, la brune papillonna des cils avant que ne se forme sur ses traits un rictus un brin plus surfait. La réalisation était brutale : il ne se souvenait même pas d’elle. Elle n’avait été qu’une toile de fond au milieu de son adolescence, un personnage de second plan au même titre que l’avaient été les personnages de fruits qui parlent dans les pubs pour Oasis. Au moins aurait-il été capable de nommer ces personnifications fruitées, sans doute, quand le prénom de la sirène demeurait absent de ses lèvres et qu’elle sentait le venin monter.
Rien ne se passait comme prévu pour lui, mais rien comme prévu pour elle. Elle venait de se prendre le revers de bâton de sa pseudo-vengeance mesquine qui n’en était plus vraiment une car elle devait admettre qu’au fond, elle avait passé une bonne soirée. Sa fierté drapée comme jamais, elle ne pouvait évidemment pas admettre cela. L’admettre, c’était perdre la face et quitte à dormir seule ce soir, autant que ce soit avec panache.
Mi-railleuse et mi-énervée, elle jaillit donc paresseusement du lit où ils avaient plongés pour piocher, dans sa penderie, l’une des chemises laissées par Bach. Tout en l’enfilant, elle asséna.
«
Piquée dans sa fierté, elle ne prit même pas la peine de répondre à sa question. L’attrapant par le bras, elle le tira jusque dans l’entrée, se répétant en boucle à quel point il était con. Et à quel point elle était conne, de croire que l’on pouvait changer. Mélanie était clairement une de ces filles qu’elle avait jalousé sur la plage, lorsqu’elle avait seulement dix ans. Et, comme lorsqu’elle avait dix ans, Gérard songeait bien plus à elle qu’à la sirène plantée devant elle.
Expédiant Azur sur le palier sans vraiment lui laisser le choix, elle lui claqua la porte au nez.
Avant de la rouvrir, pour lui plaquer sur la poitrine les chaussures élégamment vernies qu’il avait ôtées dans son entrée. Avec un sourire sarcastique face à son regard égaré, elle conclut.
«
Avant de refermer la porte sur ce vieux fantôme du passé.
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- Azur RiverwoodMEMBRE ◊ RESISTANCE
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Pseudo / Pronoms : Titus (il)Messages : 173Âge : 31Nom rebelle : CarcassoneNombre de dés : 3Résidence : Nouvelle-Orléans, Pine VillageProfession : Doctorant en sciences politiques à l'université de la Nouvelle-Orléans, assistant de la maire de la même ville et bénévole au Dôme ainsi qu'à la Rose noireFaceclaim : Pierre NineyPouvoirs/capacités : Dragon de ventCrédits : avatar : INES LA QUEEN; picrew : SmanffsonDisponibilité RP : oui !Multicomptes : Dakota / Viktoria / Enfys / Gabrielle / DelilahPoints : 457Joueur•se
Re: Odazur II / Paroles, paroles, paroles
Mar 6 Fév 2024 - 12:29
Le mec est tellement hilare de son surnom monstrueux qu’il se lève enfin pour aller cherche à boire.
Tu pouffes de rire mais Sydney confond cela avec un sanglot et met sa main sur ton épaule.
Le sourire de Sydney se fige dans une moue où tu ne vois pas la douleur pourtant évidente.
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